Vous connaissez la machine à sous Viking Runecraft de Play'n Go ? Alors sachez que ce titre se décline maintenant en version bingo ! Avis aux amatrices (puisque les femmes s'intéressent majoritairement à cette activité, d'après les statistiques)... à condition d'aimer les vigoureux guerriers scandinaves et les grands froids.
Le bingo "primitif" existait déjà au 16ème siècle en Italie et au 17ème en France. Mais c'est seulement au 20ème siècle qu'il débarque aux États-Unis, où ce jeu est perfectionné dans les années 20 par un vendeur de jouets et un professeur universitaire de mathématiques. Depuis, c'est devenu un véritable phénomène (surtout en Amérique du Nord), avec des rassemblements regroupant des centaines voire des milliers de participants. Apparenté au loto, le bingo "traditionnel" se joue avec des grilles (ou cartons ou cartes) composées de 15 nombres aléatoires compris entre 1 et 90 (d'où les 90 boules numérotées disposées dans le "tambour"). 30 boules sont ensuite tirées au sort consécutivement. À chaque fois qu'un nombre gagnant apparaît dans sa grille, le joueur le marque (avec un jeton ou un tamponneur spécial). Le premier qui complète sa grille selon le schéma précis (= diffère en fonction des variantes) remporte la partie.
Mais aujourd'hui, fini, le bingo à la mamie se jouant dans une salle des fêtes ou à une kermesse paroissiale. Car ce jeu se pratique maintenant en ligne, confortablement installé derrière son écran d'ordinateur ou de mobile. Mais ce n'est pas tout : modernisé, il s'inspire dorénavant de l'univers de certaines machines à sous en vogue. Forêt magique, jungle luxuriante, laboratoire d'alchimiste, banquise, Égypte des pharaons ou encore bateau-pirate permettent ainsi d'apporter un peu de piment et d'originalité à une grille toute simple de bingo. De quoi susciter davantage d'attraction !
L'éditeur Play'n Go semble d'ailleurs s'intéresser à cette figure de style, puisqu'il commence à décliner certaines de ses machines à sous en version bingo. Ainsi, après Rainforest Magic et Sweet Alchemy, voici Viking Runecraft qui débarque en mode "grilles à compléter". Le thème reste fidèle à celui de la slot lancée en 2017 : la mythologie nordique, avec quatre divinités dans un environnement peu accueillant pour ne pas dire glacial. Vous jouerez ainsi en compagnie d'un "gardien" : Odin, Thor, Freya ou Heimdall, chacun possédant son propre jeu bonus.
Pour le principe de base, rien de nouveau : une grille de 15 numéros compris entre 1 → 90, avec 30 boules tirées au sort.
Vous avez la possibilité d'acheter jusqu'à 13 balles supplémentaires (prix progressif, dépendant du gain potentiel) et de sélectionner le nombre de pièces + leur valeur unitaire + le nombre de cartes (avec un maximum de 4 par partie, chacune pouvant s'activer / se désactiver grâce au bouton on/off individuel). Vous pouvez également opter pour d'autres grilles, en cliquant sur "nouvelles cartes", pour obtenir d'autres numéros. Les combinaisons gagnantes (= motifs de paiement) sont affichées sur les cartes et sur l'écran situé en haut à droite. Au cœur, le tirage, autour duquel tout s'articule : l'encart des boules supplémentaires au-dessus et les grilles disposées par paire de chaque côté.
Là où le développeur se démarque particulièrement de la concurrence, c'est par la profusion des fonctionnalités :
Viking Runecraft Bingo affiche un taux de redistribution théorique de 95,87% (plutôt inférieur à ce qu'il se pratique habituellement dans le secteur... en raison du jackpot ?) avec une volatilité élevée. Son ratio max est de 4 000x la mise.