Nolimit City repousse toujours un peu plus les (ses) limites

19/10/2024

Traiter de sujets souvent irrévérencieux, cet éditeur en a fait sa griffe. Une marque de fabrique reconnaissable entre mille, d'ailleurs... car la plupart des joueurs identifient au premier coup d'oeil ses machines à sous. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que Nolimit City ne s'assagit pas avec les années... bien au contraire ! Ces dernières semaines, il nous a ainsi gratifié de slots aux thèmes certes originaux (comme d'habitude) mais pas toujours de très bon goût. La preuve avec ces nouveautés, classées par ordre chronologique décroissant, qui ont toutes un point commun : celui de vous changer les idées (pour le meilleur ou pour le pire ?).

Benji Killed in Vegas$ : la ville de tous les péchés (et de tous les dangers)

Un titre mystérieux pour un thème tout autant énigmatique, puisque trois protagonistes en chair et en os côtoient leur double respectif mort.

Benji Killed in Vegas$ : les bas-fonds du Strip

Difficile de dire si c'est une réalité ou une hypothétique éventualité... mais quand il s'agit de Las Vegas et de ses bas-fonds en nocturne, tout est envisageable. Surtout dans le milieu des casinos et de la boxe. Le sujet n'est d'ailleurs pas très clair, puisqu'il mixe battles de rap, jeux d'argent, président punk décédé et combats sportifs peu orthodoxes (à en juger la cage sanguinolente qui sert de décor). Rajoutez à cela de probables paris illégaux et des rendements de compte à gogo... et vous comprendrez mieux la présence d'une voiture de police sur les lieux.

 à Vegas, la mort est à chaque coin de rue (tout comme la luxure)

Benji Killed in Vegas$ affiche un taux de redistribution théorique de 96,04% avec une haute volatilité. Son ratio max est de 10 000x la mise.

Walk of Shame : un rachat difficile à avaler ?

Cette machine à sous véhicule un message à peine voilé, destiné à exprimer une désapprobation : celle concernant l'absorption de l'éditeur, l'été dernier, par la pointure Evolution Gaming. Le résultat : cette slot complètement déjantée dont les personnages farfelus s'inspirent de professionnels bien réels du secteur (et apparemment parfaitement identifiables).

Walk of Shame : une soirée entre (faux) amis qui vire en séance SM

Rien que son titre, La marche de la honte, est prometteur. Et les développeurs se sont particulièrement lâchés, avec une galerie d'hurluberlus prêts à tout pour satisfaire le big boss Mr E. Le thème : une soirée entre amis commence sympathiquement par des cocktails avant de dégénérer en jeux de potaches alcoolisés tendance sadomasochiste de l'extrême.

le big boss, jamais à court d'imagination pour rabaisser ses subalternes

Les participants, qui s'exhibent dans des tenues olé-olé (slip éléphant, robe fourreau, déguisement de tigre, oreilles de lapin et panoplie de bondage) valent leur pesant de cacahuètes. Inutile de préciser que l'after tourne mal, avec des punitions aussi humiliantes que violentes, sous les yeux amusés du patron, qui boit du petit lait.

Walk of Shame affiche un taux de redistribution théorique de 96,04% avec une haute volatilité. Son ratio max est de 10 000x la mise.

Dead Canary : le petit oiseau est mort... vive le petit oiseau !

Autrefois, les mineurs descendaient dans les mines en emportant avec eux un canari dans une cage. Sa mort ou sa léthargie indiquait la présence de gaz toxiques, donnant ainsi le signal de la remontée immédiate vers la surface, au risque d'y rester. Une pratique ancienne peu réjouissante (le piaf y laissant souvent ses plumes) qui n'a pas arrêté l'éditeur (même avant Noël). Bref, vous ferez ici la connaissance d'un nain borgne usé par les années de dur labeur passées au fond d'une mine de gemmes.

Dead Canari : le petit oiseau ne va jamais sortir

Ses seuls compagnons d'infortune : un canari, des rats et une fiole d'alcool. Le summum étant les tours gratuits, pendant lesquels le canari passe de vie à trépas à répétition, au gré de ses rencontres avec les bâtons de dynamite et les tonneaux de mercure.

de la mort du canari dépend vos gains de free spins

Et pourtant... Nolimit City nous surprend (une fois n'est pas coutume), avec une fin digne d'un conte de fées : le sauvetage du nain se noyant dans une eau saumâtre par une sirène belle comme un cœur. Un pied de nez à tous ses détracteurs jugeant ses slots trop sinistres ?

Dead Canary affiche un taux de redistribution théorique de 96,02% avec une haute volatilité. Son ratio max est de 65 000x la mise.

Pearl Harbor : les affres de la guerre

Drôle de célébration que cette slot traitant de l'attaque surprise de Pearl Harbor en décembre 1941. Cette base navale américaine, située sur une île hawaïenne, a subi les assauts de kamikazes japonais, provoquant ainsi l'entrée des Etats-Unis dans un conflit mondial (celui de la 2ème GM).

Pearl Harbor : un touché-coulé américano-japonais

En guise de cadeaux pour Noël, les joueurs ont donc reçu de la part de Nolimit des bombes explosant à foison, des soldats nippons suicidaires déterminés à faire un maximum de dégâts et des marins américains pris au dépourvu qui tentent de sauver leur peau. Le must étant les tours gratuits se déroulant dans le cockpit d'un avion de chasse japonais qui mitraille l'ennemi alors qu'il se fait lui-même canarder.

des tours gratuits qui mettent le feu

Pearl Harbor affiche un taux de redistribution théorique de 96,21% avec une haute volatilité. Son ratio max est de 41 100x la mise.

Rock Bossom : splendeur et décadence des stars

Des vedettes qui touchent le fond, c'est le thème de cette machine à sous qui cultive l'esprit (aussi noir que le désespoir) de l'éditeur. Devant une pierre tombale, 5 vedettes sur le déclin se recueillent.

Rock Blossom : quand le star system fait des dégâts

Des célébrités qu'on reconnaît aisément et qui incarne chacune l'une des phases du deuil : Robert DeNiro = la colère, Freddy Mercury = le déni, Prince (qui affiche un petit air de Johnny Deep) = la négociation, Tina Turner = la dépression et le clown = l'acceptation. Ravagées par l'alcool et les médicaments, ces anciennes étoiles au firmament sont au summum de la déchéance.

l'abus d'alcool est dangereux pour la santé (mentale et physique)

Le pire, comme d'habitude, étant les free spins où, après avoir picolé comme un trou puis s'être allongée sur le divan d'un psy, une personnalité se fracasse quasiment à mort la tête contre le mur d'une ruelle crade, juste à côté d'une benne à ordures.

Rock Bossom affiche un taux de redistribution théorique de 96,04% avec une haute volatilité. Son ratio max est de 19 900x la mise.

Serial : les faits d'arme d'un tueur en série

Avec ce titre, le développeur a probablement atteint un point de non-retour dans l'inacceptable. Car son thème est traité avec une désinvolture dérangeante. Le joueur suit ainsi le parcours du protagoniste principal : un serial killer avec le doigté d'un boucher.

Serial : la vie d'un tueur en série n'est pas de tout repos

Certes, d'autres personnages sont présents : l'inspecteur en charge du dossier, le médecin légiste et la victime implorante. Mais aucun ne vole la vedette à ce sinistre individu qui manie la tronçonneuse, la chaîne de vélo, la pelle et l'écarteur avec dextérité. Le décor est la scène de crime de l'ignoble dépeceur.

pour une fois, vous n'aurez qu'une seule hâte : que le mode free spins se termine !

Mais le pire, Nolimit l'a réservé pour le jeu bonus, où l'on découvre un cadavre féminin dans une housse mortuaire. L'insoutenable étant atteint avec la cinématique des gros gains, qui met en scène le tueur en train de visionner les vidéos de ses séances meurtrières... jusqu'à l'obscène.

Serial affiche un taux de redistribution théorique de 96,07% avec une haute volatilité. Son ratio max est de 74 800x la mise.

Little Bighorn : affrontement sanglant au Far West

Comme son titre l'indique, cette machine à sous revisite la sanglante bataille de Little Bighorn (qui tire son nom de la rivière à proximité) ayant eu lieu en juin 1876 dans le Montana. Les belligérants :  un régiment de la cavalerie américaine vs une coalition cheyenne & sioux. C'est ce bain de sang, où plusieurs centaines d'hommes ont perdu la vie (majoritairement américains), qui a inspiré l'éditeur.

Little Bighorn : les Indiens sont toujours prêts à mettre la pâté

Celui-ci est resté fidèle à l'Histoire, puisque les chefs indiens Sitting Bull, Crazy Horse et Two Moon mettent la pâté au lieutenant-colonel Custer... avec un slogan de circonstance : "no peace, no mercy". Le casse-tête iroquois (conçu pour écraser les os du crâne) ainsi que le tomahawk font ruisseler l'hémoglobine... et la petite séance de scalp n'est jamais bien loin !

cramponnez vos moumoutes car ça va scalper !

Little Bighorn affiche un taux de redistribution théorique de 96,06% avec une haute volatilité. Son ratio max est de 25 600x la mise.

The Border : quand les Mexicains tentent de faire le mur

Le sujet, d'actualité, semble s'inspirer de la construction du mur séparant les Etats-Unis et le Mexique sous la présidence Trump, afin d'endiguer l'immigration clandestine. Et comme Nolimit City possède un don pour faire ressortir la moindre noirceur, il a traité ce malheureux fait divers dans ce qu'il y a de plus terrible.

The Border : combien arriveront à passer de l'autre côté ?

Cette traversée vers le nord se transforme donc en véritable parcours du combattant, où les passeurs (mafieux, membres de gang) s'en foutent plein les fouilles en vendant du rêve : celui d'une vie meilleure en Amérique. En omettant évidemment de préciser la mort dans le désert (où les vautours sont bien nourris), la maltraitance, le viol... sans compter les sensibles de la gâchette, toujours prompts à dégainer pour empêcher les migrants de passer la frontière américaine.

le drapeau américain : une douce utopie pour beaucoup de Mexicains

Bref, un chemin vers la liberté pavé d'embûches... et l'occasion pour l'éditeur de se distinguer encore une fois.

The Border affiche un taux de redistribution théorique de 96,17% avec une haute volatilité. Son ratio max est de 44 200x la mise.