Myley Cyrus assise fort dévêtue sur sa boule de démolition dans le clip Wrecking Ball a probablement fait fantasmer des centaines de millions de spectateurs (pas forcément fanas de sa musique). Mais pas sûr que le leprechaun qui s'inspire de cette chorégraphie sensuelle (la boule de démolition étant remplacée par un chaudron rempli de pièces d'or) fasse autant le buzz dans cette machine à sous intitulée Buildin' Bucks. Un petit clin d’œil bourré d'humour signé Play'n Go, qui réalise ici un titre plutôt sympa avec quelques fonctionnalités attractives.
Dans le bâtiment, les professionnels sont plutôt charpentés et bourrés de testostérone... même si le secteur tend à se féminiser. Une tendance qui semble avoir séduit l'éditeur, à fond dans la mixité, puisque son équipe de constructeurs comporte une femme soudeuse. Ou plutôt une fée ailée, potelée et trapue, tout de mauve vêtue, qui manie le fer à souder comme personne.
Ses deux collègues : un leprechaun spécialisé dans les constructions en bois (à en juger par la hache à sa main et le clou entre ses dents) et un nain bougon spécialisé dans les constructions en briques (à en juger par sa truelle). Chacun-e porte un casque de chantier assorti à sa tenue de terrain, pas tout à fait conventionnelle... Mais après tout, comme la magie s'en mêle, peu importe la méthode. Et c'est dans leur atelier, niché dans une clairière au beau milieu d'un bosquet enchanteur, que notre joyeux trio officie, en pleine construction d'une maisonnette en bois.
Les trois personnages sont évidemment des symboles phares de Buildin' Bucks, puisqu'ils apparaissent sur les rouleaux mais aussi dans les segments de la roue des bonus.
Une roue qui contient également plusieurs jackpots : minor (= x30 la mise) / major (= x50 la mise) / grand (= x100 la mise). Obtenir un symbole bonus (ou scatter) sur le rouleau central attribue le prix correspondant. À savoir soit l'un des jackpots soit une fonctionnalité de personnage (Fairy Mary / Grout Bricky / Woody Elf). Celle-ci octroie 6 relances (sans possibilité de redéclenchement), avec 3 cadres de pouvoir du personnage correspondant sur les rouleaux (ces cadres ne pouvant être améliorés que si la grille en est remplie).
Obtenir au moins 3 scatters (= le casque de chantier en or orné d'un trèfle vert) déclenche le jeu bonus.
Le nombre de cadres attribués dépend du nombre de symboles déclencheurs :
- 3 scatters = 3 cadres de bois initiaux
- 4 scatters = 4 cadres de brique initiaux
- 5 scatters = 5 cadres d'or initiaux
6 tours gratuits sont, pour commencer, octroyés.
Mais des parties supplémentaires peuvent être gagnées grâce à la roue des bonus (toujours le même principe pour la déclencher).
Le nombre total des free spins est plafonné à 70 max.
De plus, les scatters déclencheurs sont remplacés par des cadres collants (= ils restent à leur emplacement d'origine jusqu'à la fin).
À ces cadres initiaux viennent se greffer d'autres cadres au gré des free spins (car tout nouveau scatter = un cadre collant en bois). Si un scatter se positionne sur une case déjà encadrée, le cadre s'améliore alors au niveau supérieur :
- bois --> brique
- brique --> or
- or --> le cadre se déplace ailleurs, afin de créer un nouveau cadre en bois ou améliorer un cadre déjà existant
Si les rouleaux sont entièrement remplis de cadres d'or et qu'un scatter fait son apparition, un gain de x100 est accordé.
Une fois le jeu bonus terminé, les cadres se transforment en maisons en respectant le matériau puis un prix instantané est attribué pour chacune :
- maison en bois = gain compris entre 2x et 5x la mise
- maison en brique = gain compris entre 6x et 12,5x la mise
- château d'or = gain compris entre 15x et 25x la mise
Buildin' Bucks affiche un taux de redistribution théorique de 96,2% avec une volatilité moyenne et un ratio max de 5 000x la mise.